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Quelques faits saillants sur le WorldCare Consortium® :
• 6 établissements de pointe dans le traitement des maladies graves, tels que classés par U.S. News and World Report
• Plus de 20 000 spécialistes et sous-spécialistes
• Un investissement annuel de 4 milliards de dollars dans la recherche biomédicale aux États-Unis
La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative qui touche les neurones producteurs de dopamine dans le locus niger du cerveau. Elle se traduit par des tremblements des mains, des mouvements plus lents, une rigidité des membres et des problèmes d’équilibre et de locomotion, qui se développent généralement au fil des ans.1
Outre ces symptômes « moteurs », les personnes touchées par la maladie de Parkinson peuvent souffrir de dépression, d’anxiété, d’apathie, d’hallucinations, de constipation, de baisse de la tension artérielle en position debout, de problèmes de sommeil, d’une perte d’odorat et de goût et de multiples problèmes cognitifs.1
Bien que la maladie ne progresse pas à la même vitesse chez toutes les personnes concernées, Parkinson empire au fil du temps, et il n’existe pour le moment aucun remède.2 Il existe cependant des traitements médicaux et chirurgicaux capables d’améliorer notablement la qualité de vie des personnes touchées par la maladie. Par exemple, des médicaments ayant pour but d’accroître la dopamine dans l’organisme peuvent atténuer les symptômes tels que la lenteur des mouvements, les tremblements et la rigidité. On peut aussi citer d’autres traitements tels que l’exercice, la kinésithérapie, l’orthophonie et, dans certains cas, un traitement chirurgical par stimulation cérébrale profonde. 3
• La maladie de Parkinson touche plus de 6 millions de personnes dans le monde.4
• Les symptômes moteurs ne se développent que plus tardivement dans l’évolution de la maladie, après que 60 à 80 % des neurones du locus niger aient été touchés.5
• Motor symptoms only develop later in the disease course, after 60 to 80% of the neurons in the substantia nigra have been impaired.1
• Les hommes ont 1,5 fois plus de chance de développer la maladie de Parkinson que les femmes.5
1 Parkinson’s Foundation. Qu’est-ce que la maladie de Parkinson? Accessible à l’adresse https://www.parkinson.org/understanding-parkinsons/what-is-parkinsons
2 Organisation mondiale de la santé. Maladie de Parkinson. Accessible à l’adresse https://www.who.int/news-room/fact-sheets/detail/parkinson-disease
3 UpToDate. . Éducation des patients : médicaments et options de traitement contre la maladie de Parkinson (Beyond the Basics) Accessible à l’adresse https://www.uptodate.com/contents/parkinson-disease-treatment-options-medications-beyond-the-basics
4 La fondation Michael J. Fox pour la recherche sur la maladie de Parkinson. Parkinson’s 101. Accessible à l’adresse https://www.michaeljfox.org/parkinsons-101
5 Parkinson’s Foundation. Qui est touché par la maladie de Parkinson? Accessible à l’adresse https://www.parkinson.org/understanding-parkinsons/statistics
En 2017 et 2018, des neurochirurgiens du Mass General Hospital ont implanté des neurones producteurs de dopamine dans le cerveau d’un patient atteint de la maladie de Parkinson qui ne réagissait plus aux médicaments. Les neurones implantés, dérivés de cellules souches de la peau du patient, ont entraîné une amélioration modeste des symptômes.
Récemment, des chercheurs du laboratoire de neurologie moléculaire de l’hôpital McLean, qui fait partie du Mass General Brigham, ont appris, grâce à des études animales, que certaines cellules dopaminergiques ne survivaient pas à la transplantation en raison d’une réaction inflammatoire déclenchée par la procédure. Pour résoudre ce problème, ils ont transplanté des neurones producteurs de dopamine ainsi que des cellules immunitaires appelées lymphocytes T régulateurs dans des modèles de rongeurs. Cette stratégie innovante a eu pour résultat une augmentation conséquente du taux de survie des neurones
La plupart des polypes colorectaux sont bénins, mais presque tous les cancers colorectaux débutent sous la forme de polypes. Retirer des polypes le plus tôt possible réduit donc le risque de développement ultérieur d’un cancer rectal ou du colon.
Une étude récente de Northwestern Medicine a montré que les gastroentérologues réalisant des colonoscopies assistées par IA détectaient et retiraient 13 % de polypes colorectaux supplémentaires par rapport à ceux qui n’utilisaient pas l’IA. Des études préalables indiquaient, quant à elles, que chaque pour cent nouvellement détecté se traduisait en une diminution de 3 % du risque de cancer dans les 5 ans suivant la colonoscopie.
Northwestern Medicine propose désormais des colonoscopies assistées par IA à l’aide du système de détection informatisé Medtronic GI Genius™, approuvé par la FDA, dans tous ses établissements, y compris dans ses neuf hôpitaux de soins actifs et dans ses quatre établissements de consultation externe, en banlieue de Chicago.
La stimulation magnétique transcrânienne répétitive (SMTr) est un acte thérapeutique approuvé pour le traitement de la dépression sévère ne répondant pas aux traitements médicamenteux. Son efficacité est généralement comprise dans une fourchette allant de 30 à 60 %, selon des études passées.
Les chercheurs de UCLA Health ont récemment analysé les résultats de plus de 700 patients traités à l’aide de la rTMS pendant une période de six semaines, résultats mesurés en fonction de quatre échelles graduées différentes évaluant leur état de dépression. Dans l’ensemble, 54 % des patients ont indiqué une réponse notable sur une ou plusieurs échelles graduées. Cependant, lorsqu’une seule échelle graduée était prise en compte, jusqu’à un tiers des réponses positives totales n’apparaissaient pas dans ces résultats. Par ailleurs, l’étude a aussi révélé que les patients ayant fait part d’une amélioration durant les 5 ou 10 premiers traitements étaient les plus susceptibles de répondre favorablement à l’ensemble du traitement.
L’approche minutieuse de UCLA Health en matière de rTMS inclut aussi un psychiatre qui rencontre les patients à l’occasion de chaque séance de soins, et suit chaque semaine les symptômes de ces derniers à l’aide de multiples échelles graduées.